Le confesseur juge du repentir du pénitent et de son ferme propos et décide si oui ou non il peut recevoir les sacrements qui sont une aide non negligeable sur le cheminement vers la conversion complète. Ce n'est pas propre à l'adultère mais à tout péché répétitif ou autre vice. Ce n'est pas nouveau.
Mais on ne met pas de la casuistique dans une encyclique, surtout à une époque où les encycliques ne sont plus seulement adressées aux évêques mais à l'Église universelle... et aux médias qui se chargent de fait de son interprétation. Ce faisant on prend le risque (ici avéré) de faire une règle, ou un assouplissement de la règle morale, d'une dérogation accordée et accordable à tel pénitent sincèrement repentant dans le secret du confessionnal.
Quant à la communion, si on prévoit dans certains cas de la donner en privé, c'est justement pour éviter cet effet pervers, et accessoirement pour éviter le scandale.
Cordialement
Meneau
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !