La vraie miséricorde me semble bien dite !
Celle voulue par le Pape contiendrait :
- la théorie de la gradualité
- la célébration du magistère de la conscience individuelle
- l'abandon du pécheur à son état
- la reconnaissance des germes de bien en tout pécheur
- le prétexte de ne pas "juger"
(le point 4 me semble doctrinalement irréfutable... pour des hommes, qui n'ont pas la même question que celle posée aux anges)
Où sont les propos nets, clairs qui disent ces points du Pape ?
N'est-ce pas interprétations conjointes de deux camps oppsoés par ailleurs :
des progressistes, des laxistes, des rebelles aux lois d'Eglise
//
des fidèlissimes d'Eglise qui ont peur de tout ce qui semble différent des livres déjà écrits, n'importe par qui, fixés aux rédactions qui existent --maintenant-en1962-en1910-- choisir selon les camps de ce camp fidèle à la continuité ?
A vous aussi, je vais dire argumenter serait positif.
Bien sûr, démontrer que le pape pense ceci... mais ne pourvoir trouver de phrases nettes, prouverait une capacité très jésuite à donner à penser sans jamais dire... Mais je ne veux pas être mauvaise langue. Cela me dépasse.
Merci à vous
Glycéra
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