...d'autant que personne ici ne parle des sacres de 1988, mais juste du bien fondé théorique de la part d'un fidèle à faire appel à un prêtre non idoine si état de nécessité (même subjectif) il y a. Le CIC le prévoit, dont acte.
Vous avancez que la validité des sacrements réformés suffit à écarter l'état de nécessité. J'avance que cet argument est fallacieux car à ce titre, si votre curé de campagne dit des messes noires le vendredi soir et qu'en même temps un prêtres suspens dit une messe de saint Pie V le dimanche, votre raisonnement pousse le fidèle vers la messe noire, ce qui est absurde.
Quant à l'argument japonais, rappelez-moi quel prêtre supens était présent sur le territoire pour assurer les fameux sacrements qui conduiraient au péché mortel, qu'on rigole...
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