que la notion de contrat vient se superposer à celle de sacrement, ce qui rend le droit et la théologie du sacrement de mariage assez complexes du moins pour moi.
Toutefois, s'il ne s'agit pas ici de déclarer idoines à la validité des formes ou des matières qui ne le sont pas, évidemment, il s'agit tout de même de donner dispense pour qu'un sacrement soit valide malgré un ministre (troisième élément d'un sacrement) impropre car non-baptisé, tandis que normalement il n'y a pas sacrement.
Mais si je vous suis, il ne faut pas l'entendre comme ministre, mais comme partie contractante, normalement interdite, parfois autorisée avec dispense. Je suppose que c'est là l'explication, et je tiens de toutes façons qu'il y en a une, l'Eglise ne pouvant errer dans son droit sur des questions aussi graves.
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