C'est une comparaison qui m'est venue, suite à une discussion avec des "conciliaires", qui reconnaissaient que l'Eglise "ordinaire" était un b....l pas possible, impliqué dans leur paroisse mais refusant d'y mettre au catéchisme leurs enfants.

Toutefois, toutes les hérésies, para-hérésies, quasi-hérésies, liturgies plus ou moins loufoques, voire scandaleuses et sacrilèges étaient moins graves que le fait d'être selon eux, SCHISMATIQUE, en parlant de la FSSPX.

Le crime suprême à leurs yeux était d'être coupé dans les faits de la communion avec son évêque, et encore plus le Pape.

Une image m'est alors apparue : effectivement, la situation de la FSSPX, suite aux choix qu'a dû faire Mgr Lefèvre, est anormale, mais ne peut-on la comparer à la dure décision que doivent prendre parfois aujourd'hui parents et médecins, pour sauver d'un cancer une petite fille :

La lourdeur des traitements fera que seront détruits ses ovaires, siège de la transmission de la Vie future. Dans l'espoir de pouvoir les réimplanter un jour, une fois l'enfant guérie, on en fait l'ablation, avant de cryogéniser tout cela.

Quid d'appliquer cette image à l'Eglise, qui semble malheureusement rongée depuis V2 par un cancer qui se répand, de plus en plus vite, plus le temps passe, avec un relativisme impressionnant chez la plupart des pratiquants.

Alors, la FSPPX n'est pas un corps étranger à l'Eglise, juste un organe non vital pour l'individu lui-même, mais vital pour ce qui est de perpétuer la Vie ?

A vos claviers, et bonne semaine à tous !

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