Le cardinal Barbarin choisit une nouvelle fois de ne pas éclairer les consciences.

Il rappelle que la paix dans notre pays et dans le monde est le premier et suprême bien.

Mais il choisit d'énoncer dans le désordre les points importants.

Or il y a un ordre, et la paix est la tranquillité de l'ordre, et la vérité de l'ordre une condition de la paix.

Mère Teresa, par exemple, voyait dans l'avortement le plus grand destructeur de la paix.

Jean-Paul II et le cardinal Ratzinger ont rappelé "que ceux qui sont engagés directement dans les instances législatives ont «une obligation précise de s’opposer» à toute loi qui s’avère un attentat contre la vie humaine. Pour eux, comme pour tout catholique, il est impossible de participer à des campagnes d’opinion en faveur de telles lois, et il n’est permis à personne de les soutenir par son vote [ici encore l'anglais est plus précis : il n'est permis ni de les promouvoir ni de voter pour elles]".

Ils ont ajouté que "face à ces exigences éthiques fondamentales auxquelles on ne peut renoncer, les chrétiens doivent en effet savoir qu’est en jeu l’essence de l’ordre moral, qui concerne le bien intégral de la personne".

Mais comment le sauront-ils si leurs pasteurs ne le leur rappellent pas ?

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