En effet, s'il le faisait, il contredirait clairement et explicitement ses prédecesseurs sur deux points où leur infaillibilité a été engagée : celle de Léon XIII sur la rupture de la succession apostolique chez les Anglicans et celle de Jean-Paul II sur l'impossibilité de l'ordination de femmes.

Autant sur les textes du Concile on peut plaider le malentendu, l'interprétation dans la tradition, le caractère pastoral et donc non infaillible des textes, etc., autant sur un sujet pareil, les choses ont été clairement établies.

Les contredire délogerait ipso facto François 1er du siège de Saint Pierre. Voilà pourquoi la validité des ordres anglicans ne pourra pas être reconnue. On en restera à du flou du genre "restez comme vous êtes", mais vous ne verrez pas le pape autoriser que des prêtres catholiques soient ordonnés par des bishops anglicans, s'agneouiller devant une hostie "consacrée" par un pasteur ou s'y confesser.

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