Ainsi Dieu peut pardonner, et la créature refuser.
Temporairement si c'est un homme.
Définitivement si c'est un ange.
Dieu n'a pas de rancune envers Satan.
Mais Satan a refusé.
On le pense souvent de Judas aussi... en se basant sur sa décision (visible) de se pendre. Le reste nous est inconnu, c'est entre lui et Dieu.
Ce qui me fait dire que, par analogies aux messages des communications : il y a émission (le pardon offert), transport, effectif ou pas encore (le dit, l'acte, ou l'attente silencieuse de meilleur moment), et la réception (si le destinataire est branché, et si le protocole de lecture comprend le langage employé).
Le pardon n'est-il pas l'acte de l'intention (vraie, sans conditions) d'émission seulement ?
Autrement dit on rejoint la définition, l'expression des limites, du mot pardon. Contient-il seulement l'émission, comme je le pense en pensant à Dieu qui pardonne, ou dépend-il de ce qui ne dépend pas de l'émetteur : le manque de ligne support de communication, le décalage des langages, la fermeture du récepteur ?
Car Dieu ne peut tenir à charge ce qui ne dépend pas de nous.
Ce serait en dehors de son équité.
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