d'un établissement comme l'Angelus n'était pas d'obtenir la réussite à n'importe quel prix comme vous le sous-entendez si bien en parlant des établissements sous-contrats qui n'ont de "catholiques" que le nom en réalité.

Mr le directeur diocésain de Bourges le confirmerait sûrement (il parait qu'il ne mange pas son chapeau comme je le pensais mais ses tablettes numériques... comprenne qui pourra..!)

L'interet de l'Angelus, c'était que c'était VRAIMENT un établissement CATHOLIQUE.

les cours.

Outre l'enseignement officiel qui suivait celui de l'Education National, les élèves suivaient des cours de philosophie dès la seconde à hauteur de 2h par semaine qui permettaient aux jeunes d'avoir bien plus que le vernis superficiel abordé en Terminale tournant autour des philosophes contemporains et de vagues idées fumeuses...

Se rajoutait à ceci des cours de catéchisme à raison de 2h par semaine jusqu'à la fin de la Terminale et ceci pris en compte dans la notation du bulletin scolaire.

La spiritualité

A seul titre d'exemple, les collégiens sont allés à Lourdes cette année quand les Lycéens ont été consacrés au Sacré-Coeur en partenariat avec Paray-le-Monial où ils ont été inscrits à la Garde d'Honneur . Bien sûr , le 1° vendredi du mois fut une de leurs activités pendant neuf mois consécutifs...

La réussite scolaire

elle fait donc partie de ce tout en ce sens que le jeune est amené à participer à travailler assidûment à son rythme. Il n'est pas systématiquement viré s'il ne suit pas ... l'Etablissement prenait en compte tous les paramètres de sa personnalité.

Mais c'était important d'indiquer cette réussite dans les faits, avec les derniers résultats obtenus car l'un des reproches fait par les adversaires consistait dire que l'Angelus "n'avait pas le niveau" .

On peut terminer en faisant une dernière remarque sur le sujet : les résultats montrent aussi que les jeunes étaient épanouis, studieux, et désireux d'intégrer la société des adultes. On est loin du cliché donné et le meilleur témoignage ne pouvait être donné justement que par ces jeunes.

Ceux qui ont réussi étaient là depuis plusieurs années. Ils sont arrivés soit quand ils étaient collégiens, soit après la troisième. Ils n'ont jamais manifesté le désir d'en partir à ma connaissance. Ils se retrouvent avec joie quand ils le peuvent toujours maintenant..

Quand à ceux qui sont partis en 1° l'année dernière - car certains en sont partis - ils sont partis de leur propre chef ou de par la volonté des parents désireux de les mettre ailleurs pour des raisons personnelles et familiales. Ils n'ont à ma connaissance encore aucun reproche particulier contre l'Angelus. C'était la vie de l'établissement, simplement... Ils sont toujours en lien avec leurs camarades qui viennent de réussir leur Baccalauréat. Deux d'entre eux pensent même à une vocation religieuse...

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