Tenter de réécrire l'Histoire est fort périlleux.
Que serait-il advenu si le Concile de 1962 n'avait pas été convoqué ? Telle est la question...
Que serait-il advenu si Octave avait péri à Actium, ou si Maxence avait gagné au Pont-Milvius ?
NS a dit aux Apôtres : " JE suis avec vous...etc..." Cette parole est plus consolante et plus sûre que les flots d'encre et de salive suscités par le Concile Vatican II ou par les moindres murmures pontificaux.
Simple constatation pour qui a connu cette époque de 1962 à nos jours et en garde le souvenir : la volonté de rupture est apparue immédiatement dans les paroles, les faits et les actes. Elle n'a pas été dénoncée ni combattue par la Hiérarchie. Ou très mollement et non sans clins d'œil complices.
L'interprétation autorisée et aisément constatable aujourd'hui du Concile est la pire de ce que les textes, dans leur ambiguité ou leur ambivalence, pouvaient autoriser.
La notion d' "herméneutique de la continuité" est récente, elle demande un grand courage à qui la revendique. Est-elle plus efficace que la lanterne de Diogène en plein soleil ?
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !