Il y a d’un côté l’acte en lui-même, bon ou mauvais. Répandre des erreurs dans le public, par exemple, constitue un acte foncièrement mauvais, dont la société en souffre réellement.
Et d’autre part, il y a le degré de connaissance, de malice ou d’innocence de celui qui se livre à de tels actes : de cela Dieu seul est juge en fin de compte, un juge à la fois infiniment juste et infiniment miséricordieux, au contraire des juges humains.
D’où la réponse de sainte Jeanne d’Arc aux théologiens qui lui demandaient si elle était en état de grâce : “Si je n’y suis, que Dieu m’y mette ; et si j’y suis, que Dieu m’y tienne”.
V.
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