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Mille pardon ! voici en quantité
par Diafoirus 2017-09-22 21:41:26
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Catéchisme
"Les enfants, combien y a-t-il de sacrements ?
- Il n’y en a plus !
- Comment ça ?
- Oui, ma grand-mère a reçu le dernier !"

Curés
"Chers paroissiens, je serai absent pendant quelques dimanches. Les naissances, mariages et décès seront suspendus jusqu’à mon retour".
*
Le sujet du sermon d’aujourd’hui : “Jésus marche sur les eaux”. Sujet du sermon de dimanche prochain : “A la recherche de Jésus”.
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"Le chœur des plus de soixante ans va cesser ses activités pendant l’été, avec les remerciements de toute la paroisse."
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"Alors, mon fils, comment se fait-il que je ne vous vois plus jamais à l’église ?
- C’est qu’il y a bien trop d’hypocrites qui vont à la messe
- Oh... Et bien si c’est ça, ne vous en faites pas : Il y aura toujours de la place pour un de plus !"
*
Un prêtre avait été muté dans une paroisse en difficulté. Un an plus tard, son évêque visite la paroisse et constate avec plaisir qu’elle a évolué très favorablement.
Désireux de manifester sa satisfaction tout en préservant l’humilité de son prêtre, il lui dit : "Quel magnifique travail l’Esprit Saint a fait dans cette paroisse par votre intermédiaire !
- Oui, Monseigneur. Mais vous auriez dû voir l’état de la paroisse lorsque l’Esprit Saint était seul à s’en occuper !"
*
Diaconie
Une dame de la paroisse va voir le curé à la sortie de la messe : "Père, il faut faire quelque chose pour Mme Dupin, vous savez celle qui vit seule avec trois enfants : elle ne peut plus payer son loyer !
- Ah, voilà qui est fâcheux. Je vais lancer un appel aux dons dans la semaine. Il faut s’entre-aider entre chrétiens. Mais au fait, comment êtes-vous au courant de sa situation, vous êtes de sa famille ?
- Non, je suis sa propriétaire..."
*
Femmes
Prière d’un prêtre après qu’un de ses paroissiens est venu lui dire son désir de rompre avec sa solitude et de trouver femme :
Seigneur aide cet homme qui cherche une femme pour se marier à la trouver ; et Seigneur, dans Ta grande Miséricorde, aide le encore davantage quand il l’aura trouvée !
*
L’humoriste Mark Twain faisait une conférence dans l’Utah, fief des mormons pratiquant la polygamie. Il eut justement une grande discussion avec un habitant sur le sujet, qui lui lança :
« Pouvez-vous me citer un seul passage de la Bible interdisant la polygamie ?
- "Nul ne peut servir deux maîtres à la fois" ! »
*
Dernière trouvaille de la Congrégation des confirmé-e-s, groupe féministe militant :
"Dieu avait une femme ! La preuve, on parle de Dieu et de Sa grande Clémence !"
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Fiançailles
"Une jeune fille présente son fiancé à ses parents.
Après le dîner, son père invite le jeune homme à bavarder avec lui dans son bureau
- Alors, quels sont vos projets dans la vie ?
- Je suis étudiant à la Catho.
- Parfait, mais qu’avez-vous l’intention de faire pour offrir à ma fille un foyer accueillant ?
- J’étudierai et Dieu y pourvoira
- Et comment élèverez-vous vos enfants ?
- Dieu y pourvoira."
Un peu plus tard, la mère demande à son mari :
"Alors, comment cela s’est-il passé ?
- Il n’a ni travail ni argent, et je crois qu’il me prend pour Dieu !"
*
Fiscalité
Après l’échec de l’écotaxe sur les poids lourds, François Hollande a reçu le nouveau président des évêques de France, Mgr Pontier, pour étudier l’imposition des mains.


Judaïsme
Le rabbin Avraham Mendelstein, ponte du Talmud et figure du judaïsme orthodoxe, apprend que son fils s’est converti au christianisme. Désespéré, il crie vers Dieu :
- Ô Eternel ! Mon garçon est devenu chrétien !
- Le mien aussi.
- Ah bon ? Mais... Qu’as-tu fait ?
- Un Nouveau Testament..."
*
Dans la Pologne de 1946, une paroisse catholique promet 100 zlotys aux Juifs survivants de la Shoah pour se convertir. "Faisons un marché, dit David à Yossif : l’un de nous va se convertir, et on partage la somme à deux."
Après avoir tiré au sort, David va à l’église, et revient après avoir été baptisé. "Alors, dit Yossif, tu me donnes ma part ?
- Pfff, tu es comme les Juifs, tu ne penses qu’à l’argent !"
*
Mensonge
Un curé annonce à la fin de la messe :
"La semaine prochaine, je ferai mon sermon sur le mensonge. Pour en savoir plus sur ce pêché, je vous invite à lire et préparer le passage de l’évangile selon St Marc, chapitre 17."
Le dimanche suivant, le prêtre pose la question à l’assemblée :
"Qui parmi vous a lu St Marc, chapitre 17 ?"
Tout le monde lève la main.
Le prêtre sourit : "L’évangile selon St Marc ne contient que 16 chapitres. Vous voilà donc tous prêts à entendre mon sermon sur ce pêché qu’est le mensonge !"
*
Saint Thomas d’Aquin est à sa table de travail, quand un frère entre dans son bureau tout excité : "Vite Père, venez voir, là dehors ! Il y a un bœuf qui vole !"
Thomas se lève à toute vitesse, et arrive à la fenêtre tout essoufflé et s’aperçoit qu’on se moque de lui. Il se rassoit calmement et dit au frère :
"Je préfère croire qu’il y a un bœuf qui vole que croire qu’un de mes frères m’a menti." [Authentique]
*

Orthodoxie
Le patriarche Paul de Serbie (décédé en 2009) accueille un évêque à Belgrade : "C’est à vous cette limousine ? Mais quelle voiture auriez-vous si vous n’aviez pas fait vœu de pauvreté ?" [Authentique]
En Roumanie communiste, un dirigeant du Parti inspecte un village avec le maire :
"Et cette église-là, pourquoi elle est fermée ? On y prêchait la rébellion ?
- Non, c’est juste que nous n’avons pas trouvé de prêtre pour s’en occuper. L’un des candidats était diplômé, mais n’était pas membre du Parti ; un autre était militant communiste mais n’avait pas de diplôme. Quant au troisième candidat, il appartenait au PC et était diplômé, mais il nous a posé problème : il était chrétien."

Protestantisme

Après les trois cultes du dimanche (10h30, 17h30 et 19h30...), un pasteur rentre chez lui exténué, fatigué et passablement énervé. A un moment, il élève la voix contre son épouse, puis se reprend et s’excuse :
- Pardon ma douce, il faut me comprendre, je suis fatigué, j’ai prêché trois fois aujourd’hui...
- De rien, mais il faut me comprendre, moi aussi, j’ai dû t’écouter trois fois aujourd’hui..."
*

Sermon
Un jeune prêtre va voir un de ses confrères et lui demande :
"Comment doit être un bon sermon ?
- Un bon sermon doit avoir un bon commencement et une bonne fin. Puis tu fais en sorte que le commencement et la fin soient le plus rapprochés possible !"

Thé
"Vous reprendrez bien une tasse de thé, Monsieur l’abbé ?
- Non merci, je suis monothéiste !"
*
Dieu existe... ou les barbiers n’existent pas
Un homme entra dans un salon de coiffure pour se faire couper les cheveux et tailler sa barbe comme il le faisait régulièrement. Il entama la conversation avec le barbier. Ils discutèrent de sujets nombreux. Soudain, ils abordèrent le sujet de Dieu.
Le barbier dit : « Écoute, je ne crois pas que Dieu existe comme tu le dis ». « Pourquoi dis-tu cela ? » répondit le client. « Bien, c’est facile, tu n’as qu’à sortir dans la rue pour comprendre que Dieu n’existe pas. Dis-moi, si Dieu existait, y aurait-il tant de gens malades ? Y aurait-il tant d’enfants abandonnés ? Si Dieu existait, il n’y aurait pas de souffrance ni de peine. Je ne peux imaginer un Dieu qui permet toutes ces choses ».
Le client s’arrêta un moment pour penser mais il ne voulut pas répondre pour éviter toute confrontation, et peut-être aussi pour que le barbier ne risque pas de le taillader par un faux mouvement dans l’ardeur de la discussion !
Le barbier termina son travail et le client sortit du salon.
Tout de suite après sa sortie, il vit un homme dans la rue avec de longs cheveux et une barbe (il semblait bien qu’il avait été longtemps sans s’être occupé de lui-même car il avait l’air vraiment négligé).
Le client retourna donc dans le salon et dit au barbier : « Tu sais quoi ? Les barbiers n’existent pas ». « Comment ça, les barbiers n’existent pas ? » demanda le barbier. « Ne suis-je pas ici et ne suis-je pas un barbier moi-même ? » « Non ! » s’écria le client. « Ils n’existent pas parce que s’ils existaient, il n’y aurait pas de gens avec de longs cheveux et la barbe longue comme cet homme qui marche dans la rue. »
« Ah, les barbiers existent. Ce qui arrive, c’est que les gens ne viennent pas à moi. »

« Exactement ! » affirma le client. « Tu l’as dit : Dieu existe. Ce qui arrive c’est que les gens ne vont pas à LUI et ne LE cherchent pas, c’est pourquoi il y a tant de souffrance dans le monde. »
N’accusons pas Dieu, mais accusons-nous plutôt nous-mêmes qui avons fichu la pagaille dans le plan d’amour de Dieu sur nous. Nous le retirons de partout, de notre constitution, de nos lois, de notre politique, de nos écoles, de nos facultés, de nos hôpitaux, de nos familles, de nos médias, de nos loisirs...et nous nous étonnons de ce que tout marche mal ?
*
Jésus dit au Père : envoie donc le St Esprit sur les pères conciliaires.
Il part sous forme d'une colombe, bien sûr, et revient très vite :
"visibilité nulle, impossible de se poser"
*
A l’occasion de la venue d’un rabbin à la cathédrale de Strasbourg, des catholiques conciliaires de Suisse romande louent un petit car pour se rendre ensemble à ce grand événement œcuménique. L’ambiance à l’intérieur du car est excellente : on y débat des mérites respectifs des différents moyens contraceptifs, on y fait tourner une pétition pour l’ordination des femmes et des hommes mariés, chacun s’y indigne des derniers propos du pape et d’une éventuelle réintégration canonique de la FSSPX, chacun y vante la dernière innovation liturgique ou pastorale de sa paroisse, on y lit religieusement de longs passages du livre de Jules Isaac L’enseignement du mépris. Un long silence méditatif fait suite à cette lecture qui plonge, malheureusement, le conducteur du bus dans un profond sommeil. Le car finit encastré dans un arbre.
Une vingtaine de catholiques conciliaires perdent la vie et se retrouvent à frapper à la porte du Paradis.
« Qui est là ? » leur demande St Pierre.
« Nous sommes un groupe de catholiques morts dans un accident de car alors que nous nous rendions à la cathédrale de Strasbourg pour y écouter un rabbin prêcher le Carême. »
« Mais d’où vous est venue cette idée saugrenue ? » leur demande St Pierre ahuri.
« Mais du concile Vatican II » se récrient les catholiques conciliaires.
« Vatican II ? Inconnu ! »
« Mais voyons, rétorque le groupe de catholiques conciliaires, demandez à Jésus »
Jésus arrive, mais il est tout autant pris de cours. « Vatican II ? Non, je ne connais pas ! »
« Demandez au Père » implorent alors les catholiques conciliaires.
Le Père arrive, mais il ne peut que hausser les épaules « Non connais pas ! »
A bout de force, les catholiques conciliaires supplient « Demandez au Saint Esprit »
Le saint Esprit arrive à son tour. «Le Concile Vatican II ?….Ah oui, cela me revient ! Mais je n’ai pas été invité… »
*
Il était une fois un homme qui travaillait au Bureau de poste.
Son travail consistait à traiter le courrier qui était mal adressé ou dont les adresses étaient inexistantes.
Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d'une main tremblante au Bon Dieu.
Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de retour à l'intérieur. Il l'ouvrit et lut :
"- Cher Bon Dieu,
Je suis une vieille veuve de 93 ans, qui vit d’une très petite pension.
Hier, quelqu'un m'a volé ma sacoche.
Il y avait 100 euros à l'intérieur, c'était le seul argent qui me restait jusqu'à mon prochain chèque de pension.
Dimanche prochain, ce sera Noël, et j'avais invité deux de mes vieux amis à souper.
Sans argent, je suis maintenant incapable d'acheter de la nourriture pour les recevoir.
Je n'ai pas de famille qui puisse m'aider, vous êtes maintenant mon seul espoir. S'il vous plait pourriez- vous me venir en aide? Sincèrement,"
Edna 66, rue Jean-Talon apt 2, 48310 Villois


Le travailleur postal fut très touché.
Il montra la lettre à tous ses confrères du bureau de Poste.
Chacun d'entre eux mit la main à sa poche et donna quelques euros.
Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 96 euros.
Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit livrer à l'adresse de la vieille dame.
Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être intérieur d'avoir contribué à un beau geste de générosité.
Noël vint à passer et quelques jours plus tard, une autre lettre apparut, adressée au Bon Dieu, encore écrite par la vieille dame.
Tous les employés s'attroupèrent autour de l'employé alors qu'il ouvrait la lettre.
Ils lurent :
"- Cher Bon Dieu,
Comment pourrais-je vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ? Grâce à votre geste de générosité et d'amour j'ai pu recevoir dignement mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël.
Ce fut une très belle journée et j'ai avoué à mes amis que si la chose a été rendue possible, c'est grâce à Vous et au beau cadeau
que vous m'avez fait.
Au fait, il manquait 4 euros. J'ai bien peur qu’ils aient été volés par ces coquins d'employés du Bureau de Poste.
"
*

     

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