pourraient justifier le divorce d'Henri VIII (le pauvre, il n'avait pas de fils pour assurer la continuité de la royauté), l'apostasie des chrétiens persécutés craignant pour leur vie, le reniement de saint Pierre.
Encore une fois, le problème n'est pas la communion à des divorcés-remariés. C'est la communion à des divorcés-remariés n'ayant pas pris la ferme décision de vivre chastement. Il y a toujours de la place pour une chute, un moment de faiblesse, mais l'essentiel est la volonté de les éviter.
Comment un prêtre pourrait-il donner l'absolution à quelqu'un incapable de dire "je prends la ferme résolution, avec le secours de votre sainte grâce, de ne plus vous offenser" ?
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