« Deux fois deux : quatre », à mon avis, respire l’imprudence. « Deux fois deux : quatre » me dévisage insolemment. Les poings sur les hanches, il se plante au milieu de notre route et nous crache au visage. J’admets que « deux fois deux : quatre » est une chose excellente, mais s’il faut louer, je vous dirais que « deux fois deux : cinq » est aussi parfois une petite chose bien charmante » (Les Carnets du Sous-Sol)