incline à la bienveillance pour le pécheur pour mieux l'édifier et le conduire, l'élever vers la Vérité.

Alors que cette nouvelle notion de la miséricorde, à grand renfort de fausse théorie de la gradualité doublée, je le maintiens, d'une célébration du magistère de la conscience individuelle, en laissant le pécheur à son état, acceptant même de le reconnaître comme portant en lui des germes du bien, sous prétexte de ne pas juger, renonce à la vérité, qui n'est ni négociable, ni divisible, ni progressive, et le condamne à l'erreur.

Voilà pourquoi, nous sommes en droit de parler de vision faussée de la miséricorde, de cette miséricorde qui consacre un anthropocentrisme destructeur.

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